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La compression médicale est conseillée pour traiter les affections veineuses chroniques. Les chaussettes de contention sont également conseillées en cas d’œdème, de phlébite, d’embolie pulmonaire ou si vous présentez des risques de thrombose veineuse.
Les chaussettes de compression facilitent la circulation du sang des pieds vers le cœur et empêchent ainsi le sang de stagner. Son port permet de limiter des troubles de la circulation sanguine comme les varices, les jambes lourdes ou les gonflements. Vous pouvez également en porter si vous voyagez longtemps (vols long courrier par exemple) ou si vous travaillez quotidiennement en station debout prolongée.
Le type de compression permet de distinguer différentes classes de chaussettes de compression. En France, la pression de compression (en mmHg - millimètres de mercure) est mesuré au niveau de la cheville. On distingue ainsi 4 classes de compression. La classe I, II, III ou IV correspond à la classification de risque :
La différence principale entre les bas et les chaussettes de contention réside dans la hauteur des produits. Les chaussettes de compression, appelées aussi bas de jarret, s’arrêtent en dessous du pli du genou. Elles ressemblent à des chaussettes standards et sont relativement faciles à porter. Autant pour les hommes que pour les femmes. Les bas de contention ou bas autofixants, eux, remontent jusqu’au milieu de la cuisse. Ce modèle est souvent privilégié par la gente féminine mais il existe des modèles spécifiquement conçus pour les hommes.
Les chaussettes de contention sont formellement contre-indiqués en cas de :
Dans d’autres cas de figures, le port de chaussettes de contention est déconseillé ou nécessite une réévaluation régulière du médecin sur l’efficacité et les risques encourus par le patient :